THOLEN (Pays-Bas) - Orgue Van Dam 1832

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Un orgue romantique hollandais de 29 jeux, 3 claviers et pédalier - Une production VOXUS - 26 Go de données

 

 

 

Les orgues

L’orgue de l’église de Tholen provient probablement de l’église Galiliéen de Leeuwarden. En 1940, cette église fut détruite pour laisser place à une nouvelle. Après la Guerre on décidait donc de construire une église ‘moderne’, mais sans place prévue pour l’orgue. Il fut décidé de le donner à l’église de Doesburg, cependant en 1955, cette église en fit don à l’église restauré de Tholen. L’ancien orgue, un orgue J. Hilboesen, fut vendu à l’église catholique de Rotterdam-Blijdorp. Maintenant, cet orgue se trouve à l’église réformé de Groningen.

 

A Tholen, est acheté en 1951 l’orgue historique de l’église de Doesburg, un orgue de trois claviers. A l’origine , l’église de Leeuwarden fit don de son orgue, une fois démonté, à l’Eglise de Doesburg , malheureusement, pour cause d’une restauration trop longue , l’orgue ne prit jamais place en ces lieux. Plus tard, l’orgue Walcker, qui est devenu mondialement connu, fut construit. Pendant les reconstructions de l’orgue en 1955 par le firma J.C. Sanders, on renvoie les anciens approvisionnements de vent, le Viool de Gambe et Vioola sont changés en un Praestant 4’ et Quint 1 ½, L’Aeoline est changé en un Regaal et on ajoute au Positif un Scherp III-IV aigu. Quant aux anches, on renouvèle les langues et le cuir. Tous ces renouvellements étaient normaux pour ces temps, renouveler un orgue afin d’obtenir un orgue néo-baroque.

 

En 1992/93 l’orgue est restauré profondément sous la direction de Jan Jongepier par le facteur d’orgues S. F. Blank de Herwijnen. On redonne à l’orgue ses deux approvisionnements de vent, le Dulciaan déménage vers le Récit, les jeux flottants du Récit sont rétablis, et on ajoute au Positif un Sifflet et Trompet, au lieu d’un Scherp et Dulciaan. De plus, on prépare le Récit pour un trémolo, et on ajoute un autre trémolo au Positif. Les accouplements n’étaient pas changés.

 

En 2004, le facteur d’orgues Henk van Eeken ajoute un trémolo général à l’orgue.

 

Voyant l’histoire de la construction complexe, il faut dire que l’orgue n’est pas venu à l’existence tout simplement. Le facteur d’orgues van Dam ont clairement du s’allonger aux quelques décisions qui n’étaient pas préférées. Leur choix d’un orgue de trois claviers est clairement né par la nécessité, car voyant la disposition, on voit que c’est un orgue de deux claviers où on a divisé la deuxième clavier en deux claviers singulières. L. Proes, quelqu’un qui a décrit l’orgue vers 7 mai 1854, trouve ce qui suit : ‘l’orgue a obtenu un Grand-Orgue magnifique, aussi le Pédalier est assez grave. Le Positif, ce n’est pas mal non plus, bien qu’il aurait dû avoir encore un autre anche, mais le Récit ne sert à rien.’ Il continue : ‘Si on aurait voulu construire cet orgue comme un ensemble organisé, les travaux concernant les orgues à l’église Galiléen n’ont pas réussi. Proes est supporter d’un nouveau Récit, plus grand, où on peut dire : ‘le son, assez fort, mais agréable et ravissant vient de la hauteur.’ Le Récit présent critique-t-il comme un Récit ‘exigu, insignifiant et pas digne d’avoir part à un orgue de la ville.’ En 1976, J.H. Kluiver trouve exactement la même chose. Pendant la dernière révision on ne voulait que remettre en ordre la technique de l’orgue en maintenant la situation historique, sauf les changements de 1955 et l’ajout d’un Sifflet et Trompet au Positif. C’est donc pour ça que l’orgue de Tholen est l’un des rares orgues Van Dam ayant trois claviers et la dernière orgue ayant un Positif. Le buffet du Positif, ressemblant aux Orgues Silbermann de Freiberg forme la base d’un buffet beaucoup appliqué par Bakker, Timmenga et d’autres facteurs d’orgues.

 

Le son de l’orgue

Malgré, ou peut-être grâce à l’histoire de construction tellement complexe de l’orgue de Tholen, maintenant il y a un instrument impressionnant. Le Grand-Orgue se caractérise par sa mixture en tierce très basse, aussi que son Cornet, est c’est devenu vraiment la clavier la plus importante. Les quelques jeux du Positif ajoutent-y un peu de brillance, surtout les Sifflet et Carillon, le dernier jeu étant composé d’un 4/5’-composition, et on les écoute même au Tutti. Grâce à l’accouplement de 1854, c’est possible d’accompagner avec un Carillon et Trompet au Positif, accouplé aux jeux de fond ou même tout le plénum du Grand-Orgue. C’est curieux que c’est seulement possible d’accoupler le Pédalier au Grand-Orgue via le Positif ; mais originellement il n’y avait même pas d’accouplements du Pédalier, comme dans la tradition allemande. Il n’est donc pas obligatoire d’accoupler le Pédalier, le Pédalier est assez forte de sonner sans être accouplé. Les deux anches fournissent une base au Pédalier ; le Trompet au Pédalier, accouplé au Positif – ou pas – est excellent pour jouer un jeu cantus-firmus. Dans ce sample set, il y a trois accouplements du Pédalier afin d’étendre la quantité des possibilités des régistrations. Pour cette raison, il y a aussi une accouplement supplémentaire du Récit accouplé au Positif. En 1896, le premier accouplement fourni à la Récit nécessite une utilisation parcimonieuse et n'est pas destiné à être utilisé dans le tutti. Elle est plus applicable dans diverses combinaisons avec les sons, en particulier avec les bels jeux flottants rétablis, et avec la flûte légèrement reniflant et dolce. La Viola 4 'donne la possibilité à diverses couleurs-inscriptions 8'-et 4'-base. Le remarquable Dulciaan du Récit, avec des tasses en acajou et des compartiments métalliques, nécessite encore une certaine régularité. C’est clairement audible que ce jeu a tendance à la caractère moue d’un anche irrégulier. L’orgue de Tholen est construit afin d’accompagner des services protestantes, les psaumes de Genève. Il faut chanter avec cet orgue et il faut pouvoir y jouer des techniques d’accompagnements ici. Mais à côté de ça c’est bien possible de jouer d’autres pièces, comme de Bach, de Mendelssohn ou d’autres chorals de Bastiaans, Lange et Litzau. C’est donc un instrument très utilisable, avec un son d’orgue digne. A l’une côté c’est un instrument dans une tradition classique Frison de Lambertus van Dam ; à l’autre côté on peut bien découvrir des éléments du Frühromantik allemande. C’est un défi de trouver les frontières de cet instrument !

 

Dispositie

 

Hoofdwerk: 
Bourdon 16
Prestant 8
Holpijp 8
Octaaf 4
Quint 3
Octaaf 2
Mixtuur 4-6 st.
Cornet 3 st.
Trompet 8

Rugwerk:
Prestant 8
Holpijp 8
Octaaf 4
Fluit d'Amour 4
Nasard 3
Octaaf 2
Siflet 1
Carillon II D
Trompet 8
Tremulant

Bovenwerk:
Fluit dolce 8
Viola di Gamba 8
Viola 4
Speelfluit 2
Dulciaan 8
Tremulant

Pedaal:
Subbas 16
Prestant 8
Gedekt 8
Octaaf 4
Bazuin 16
Trompet 8

Koppeling: 
Hoofdwerk - Bovenwerk 
Rugwerk - Hoofdwerk 
Pedaal - Rugwerk

 

Tremulant:  
Rugwerk 
Bovenwerk 
Totaal orgel

 

 

 

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